mercredi 11 décembre 2013

Vers Noël... 11 décembre

«Tendez l'oreille. Ouvrez les yeux.Guettez. Dieu est là... Dieu vient. Joyeux Noël à vous et à vos proches et meilleurs voeux pour une route de Paix, de Joie, de Tendresse, de Partage et d'Amour sur la route 2012.»



Parole-cadeau : « Aimer les autres, c'est vouloir pour eux ce qu'ils veulent pour eux-mêmes et les soutenir dans tout ce qu'ils entreprennent pour vivre dans la joie. » (de Margaret Paul )
 
Pour ton chant de Noël, par les enfants de la région, clique sur le lien -
 

http://sites.csdraveurs.qc.ca/musique/noel/calendrier/

Symbole du temps des Fêtes : La bûche de Noël
 
 
La bûche de Noël réunissait autrefois tous les habitants de la maison, tous les hôtes du logis, parents et domestiques, autour du foyer familial.

La bénédiction de la bûche avec les cérémonies traditionnelles dont elle se parait n'était que la bénédiction du feu, au moment où les rigueurs de la saison prenaient place. C'était la fête du feu, le Licht des anciens Germains, le Yule Log, le feu d'Yule des forêts druidiques, que les premiers chrétiens ont substitué par la fête de sainte Luce. A noter que le nom Lucie vient du latin lux, lucis, pour « lumière » dont le nom, inscrit le 13 décembre au calendrier, rappelle encore la lumière.

Il est donc tout naturel qu'on mette en honneur, pour Noël, au cœur de l'hiver, le morceau de bois sec et résineux qui promet de chauds rayonnements.  Il y a bien longtemps, cette coutume était bien réelle et se voulait le paiement d’un impôt acquitté en nature à un seigneur. Ainsi, le vassal, pour Noël,  apportait du bois ; à Pâques, des œufs ou des agneaux ; à l'Assomption, du blé ; à la Toussaint, du vin ou de l'huile.

Il arrivait aussi, que les pauvres gens ne pouvant se procurer des bûches convenables pour la veillée de Noël, en mendiaient. Beaucoup de religieux et de paysans, recevaient pour leurs feux des fêtes de Noël un arbre ou une grosse bûche.

De nos jours, à défaut de vrai cheminée ou de bûche de bois tangibles, on la représente dans un gâteau décoré comme une bûche bien réelle et on la déguste.

On se réchauffe donc le coeur en partageant un morceau de gâteau-bûche.

Suggestion : Nos repas devraient être des lieux de rencontre, de chaleur, de communion, de partage, de joie... Qu'est-ce que tu pourrais faire pour que le repas de dimanche prochain soit un moment de joie, car, dimanche 15 décembre,  c'est le dimanche de la joie dans l'attente de Celui qui doit venir...?

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