dimanche 22 mai 2011

Femmes de par le monde...

Un monde à l'envers!
Une fois par mois,  nous prenons le temps de regarder le «monde». Nous essayons de le comprendre. Peut-être pourrons-nous, en saisissant les causes, les pourquoi, les comment, et en redressant nos manches, y faire quelques changements.

Femmes de par le monde! C'est le cas de le dire! Trois femmes... trois situations... trois solutions... Symboles d'innombrables femmes de par le monde... avec la pièce de théâtre «Pour le meilleur et pour le pire». Rose-Aimée vit une situation de mariage intolérable de violence psychologique. Et quand elle prend conscience  que depuis les débuts de son mariage, elle vit le viol et le contrôle implacable de son mari, elle décide de «partir»... et elle part. Sa fille partira avec elle. Son gars restera avec le père. Sans doute, danger futur qu'il reproduise le même scénario, à moins que...


Quand à Espérance qui subit la violence physique, elle espère pouvoir changer son mari, le guérir de sa boisson, le délivrer de la violence... car elle l'aime.  Oui, elle l'aime... et ironie du sort, son rêve de le changer la maintient auprès de l'époux qui, un an plus tard, fera le geste fatal de la tuer comme il lui a maintes fois crier par la tête!

Et que dire d'Albertine?  Son John, comme elle lui fait confiance! Lui, un homme d'affaire «obligé» de voyager avec sa secrétaire, heureusement célibataire et libre, et qui, en plus parle l'anglais.  La préparation du mariage de sa fille Jennifer entretient son rêve de bonheur pour sa fille, et en même temps, entretient l'illusion sur sa situation matrimoniale. Sans doute est-il plus facile de fermer les yeux que d'avoir à prendre la voie de la conscientisation. Des changements en perspective?... Trop difficle. Pouvons avoir confiance en ce John qui défraie un peu trop toutes les dépenses du mariage de sa petit «Jennie» qu'il adore... Vraiment trop à mon goût! Et la petite «Jennie» s'en va vivre à Edmonton, après un mariage vraiment rapide... et ne revient jamais à la maison! Pourquoi, croyez-vous?

De l'Acadie, nous sommes parties pour l'Algérie avec le film «Le voyage de Nadia». Nadia retourne à son pays d'origine pour y revoir les changements vécus par les femmes arabes car depuis plusieurs années, Nadia vit à Montréal. Voyez-vous : elle était si belle sur la photo que le monsieur, deux fois plus âgé qu'elle, l'avait choisie en mariage.





Le film est éclairant et inspirant. Nous aurons l'occasion de le reprendre à l'automne pour continuer notre réflexion.


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